Bien que les États-Unis réduisent peut-être leur présence militaire en Afrique de l’Ouest, la France, l’autre puissance étrangère opérant au Sahel, a fait passer le nombre de soldats dans la région de 4 500 à 5 100. L’escalade des hostilités est venue en réponse à une réunion de janvier avec le G5 Sahel (Burkina Faso, Tchad, Mali, Mauritanie et Niger) qui a affirmé que la principale menace pour la sécurité du Sahel est la filiale locale de l’État islamique, connue en tant qu’État islamique au Grand Sahara (ISGS) dirigé par Abu Walid Al Saharaui, qui fait officiellement partie de la…
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